L’assemblée générale (AG), c’est un peu le grand conseil du navire. Une fois par an (minimum), tout l’équipage—alias les copropriétaires—se réunit pour décider de la gestion de l’immeuble. Travaux à voter, budget à approuver, syndic à renouveler… rien n’échappe à cette réunion stratégique.
1. Une convocation obligatoire
Avant de se lancer dans les débats, encore faut-il que tout le monde soit convié ! Le syndic envoie une convocation à chaque copropriétaire, précisant la date, l’heure, le lieu et surtout l’ordre du jour. Sans cela, impossible de voter valablement une décision.
2. Un déroulement bien orchestré
Le jour J, l’AG suit un schéma bien rodé :
Signature de la feuille de présence : chaque copropriétaire (ou son représentant) doit attester de sa présence.
Désignation du président de séance : un copropriétaire est élu pour diriger les débats (ce n’est jamais le syndic).
Lecture et vote des résolutions : chaque point de l’ordre du jour est présenté et soumis au vote. La majorité requise dépend de l’importance de la décision (simple, absolue, renforcée ou unanimité).
Clôture et rédaction du procès-verbal : les décisions prises sont consignées et envoyées aux copropriétaires.
3. Un cadre à respecter
Attention, une AG ne se fait pas à la va-vite. Il faut respecter des délais, des quorums, et surtout les règles de majorité. On ne décide pas à la légère de repeindre la façade en vert pomme !
📌 À retenir : L’assemblée générale est le moment clé où les copropriétaires votent les décisions importantes. Sans elle, la copropriété naviguerait à vue… et risquerait bien de sombrer dans le chaos !
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